Très chère Zabel,
Le départ de Badrik nous peine profondérement. Vous étiez lui et toi des rotariens turcs tellement humains et accueillants. Que de bons souvenirs avec vous deux. Au téléphone, on était si heureux de vous entendre.
C'était la Turquie qui revenait chez nous.
Nous t'embrassons bien fort
Bernadette et Benoit